Date de création : 04.02.2008
Dernière mise à jour :
20.12.2025
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Le sommeil n'est rien d'autre qu'un état de conscience modifié. Bref la conscience n'est que le résultat d'un ensemble de traitements d'informations : elle n'a pas de siége...coupez plusieurs sources et vous aurez des états modifiés , coupez toutes les sources ; et il n'y aura plus de conscience.
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Abonnement au blog· Le secret se trouve dans vos plantes de pieds.
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suit le silence qui approuve http://jeanaim epat.centerblo g.net
Par jeanaimepat, le 22.10.2025
"a quelles
passions politiques, religieuses ou sociales s’abandonner , si nous ne sommes porteurs que de
r
Par Anonyme, le 05.10.2025
something puzzles me about the big bang theory and modern cosmogony :
astrophysic ians say that the universe
Par Anonyme, le 09.08.2025
la mort est une forme de bûcher. le corps se décompose - ce qui est une combustion lente - et l'âme rejoint la
Par Anonyme, le 27.07.2025
petit coucou.j espère que tu vas bien malgré toute ces chaleurs.mon nouveau blog d images ia.amitiés http://la
Par koukla, le 04.07.2025
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On peut penser ce que l'on veut d'internet mais quand même quelle merveilleuse invention ; je comprends certaines élites qui voit leurs pouvoirs s’amoindrir, aujourd'hui la science est à tout le monde et sans doute des gens prennent peur que en plus de partager la science on leurs demande de partager la terre.
Snooky était mon ami.
Les feuilles se ramassent à la pelle , je l'ai entendu cette phrase et ce 26 octobre 2010 c'est le cas , lors de ma toute dernière promenade , j'ai vu ces feuilles qui annonce l'hiver , j'ai vu les yeux de mes maîtres , il y avait l'eau de la mer , beaucoup de peine et moi , j'y voyais un peu de la cote vendéenne , j'emporterai les vagues , le soleil et l'image de ceux qui m'ont donné le paradis sur terre. Je savais que j'allais les quitter , un mois déjà que les forces s'en allaient , mon maître me portait , à chaque instant , j'étais l'ombre de moi-même . j'ai fais le dernier voyage heureux , ma vie fut heureuse et mes Amis m'ont évité les souffrances , je pourrais dire mes parents tellement ils m'ont aimé , et je dois vous dire que je suis fier, ils disent à tous que j'étais un bon chien , que j'étais leur ami , et que je serais a jamais dans leur univers.
J'étais un petit chien court sur mes pattes , un bâtard comme on dit un peu de teckel avec un petit doigt de Pinscher et le mode donnait un animal qui avait du caractère , fier et véloce , j'aimais montrer que j'étais un beau chien , que je courrais très vite, petit déjà , je démontrais mes talents , mes origines , un incident faillit m'envoyer au cimetière des petits chien à l'âge de trois mois .Ma petite enfance et mon apprentissage furent marqué par deux événements , la même semaine mon besoin de tout mordiller disparu , un jour le bord de la plainte du salon fut le jouet et le passe temps idéal pour tuer le temps , ce moment ou mes maîtres chassaient le ravitaillement , en dessous de ce morceau de bois se trouvait un fil qui a mon grand étonnement m'envoya une décharge électrique qui me traversa le corps , une terrible impression de fin du monde me dégoûta à vie de décortiquer ce qui me tombait dessus . Le deuxième événement qui me marqua profondément c'était cet empressement de vouloir avaler tout ce qui se mangeait et qui traînait sur le sol , peut être tout simplement tombé . Mes maîtres absents me trouvère sans connaissance et presque agonisant à leur retour, j'avais avalé un médicament très toxique et c'est encore Fred qui couru chez le docteur , pardon chez le vétérinaire qui par chance se trouvait à 500 mètres de la maison. Ce brave monsieur me garda trois jours , je revenais de loin , et là aussi mon penchant pour les objets trouvés disparu. Dans l'ensemble je fus un chien obéissant , j'aimais mes maîtres et c'est autant pour leur faire plaisir que j'obéissais , faut dire que les choses sont pas vraiment inventées pour les toutous comme moi , vivre en ville est dangereux , en tout cas très vite j'enroulais ma vie à la leur. Voilà pour ce qui est de mon enfance . Même pour nous les chiens , le hasard étend ses ailes , parfois il est bon , ce sont les fées qui se penchèrent sur la portée de huit chiots , ce mois de Février 1997 , Fred était venu me choisir , mon air malicieux fit la différence , ce jour là j'ai découvert l'endroit ou je passerai ma vie , ce jour là j'ai rencontré le bonheur qui n'existe vraiment que quand on est aimé. Je ne vous en dirais pas davantage , ces 14 années de vie furent heureuse vous contez le détails des moments de peine et de joie qui font les jours , les mois et les années serait vous raconter la vie de mes maîtres , j'ai vécu un peu de leur vie , moi je pars , et je sais que le secret que beaucoup d'entre vous ignore et que mon éternité est gravé dans le mot amour , ce qui me donne un peu de votre humanité.
horobindo