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Date de création : 04.02.2008
Dernière mise à jour : 26.09.2025
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La conscience .

Le sommeil n'est rien d'autre qu'un état de conscience modifié. Bref la conscience n'est que le résultat d'un ensemble de traitements d'informations : elle n'a pas de siége...coupez plusieurs sources et vous aurez des états modifiés , coupez toutes les sources ; et il n'y aura plus de conscience.

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LA TERRE ..NOTRE MERE.

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partager la terre.

On peut penser ce que l'on veut d'internet mais quand même quelle merveilleuse invention ; je comprends certaines élites qui voit leurs pouvoirs s’amoindrir, aujourd'hui la science est à tout le monde et sans doute des gens prennent peur que en plus de partager la science on leurs demande de partager la terre.

ALPHONSINE.11.

Publié le 23/09/2019 à 08:19 par horobindo Tags : aimer image centerblog course background sur chevaux cheval vie google saint monde jeux homme enfants femme fille nuit
ALPHONSINE.11.
La chanson des joujoux.

On vient d'éteindre la lumière
Bébé succombe à son sommeil
Mais les joujoux très en colère
Dans leur placard tiennent conseil

Les joujoux font grève, ils en ont assez
D'être tracassés et fracassés

 


Le ballon qu'on crève
La poupée qu'on bat
Sont lassés des jeux   et des combats

Le pompier n'a plus d'échelle
Le tambour est plein de trous
Le cheval n'a plus de selle
Et l'auto n'a plus de roue
Mais ils se soulèvent contre cet enfant
Il va voir comment on se défend

Le placard entrouvre sa porte
Ça grince un peu, ma foi tant pis

 
 


Et voilà que les joujoux sortent
Sautant sans bruit sur le tapis

Les joujoux discutent pour savoir comment
Ils vont préparer leurs armements
Pour mener la lutte un chef est nommé
C'est un vieil indien tout déplumé

Le pompier fourbit sa lance
Le tambour bat le rappel
Le cheval déjà s'élance
Le moment est solennel
Quittant leur cahute ils forment les rangs
Le mot d'ordre étant : "mort au tyran !"

Le chef a dit "marchons en ordre
Vers celui qui nous démolit,
Pour le griffer et pour le mordre
Nous grimperons aux draps de lit"

Mais l'enfant sommeille
Tendre et gracieux
Comme un chérubin tombé des cieux
Devant ces merveilles, les joujoux surpris
Se sont arrêtés tout attendris

Le pompier dit : "tout de même
Un bébéc'est bien gentil"
Le tambour dit :"moi je l'aime"
Alors ils sont repartis

Quand l'enfant s'éveille
Vers huit heures un quart
Les joujoux sont tous
Dans le placard !

Résultat de recherche d'images pour "la chanson les joujoux"

 

chaque jouet apporte son lot de poésie, de drôlesse parfois, mais surtout beaucoup d'émotion : le poupard est triste de n'avoir ni bras ni jambe, des petites filles se demandent si finalement leurs poupées ferment les yeux quand elles-mêmes s'endorment le soir, on se pose la question de savoir si les ballons rouges que vient de lâcher par mégarde un marchand vont servir de jouets aux anges, on s'attriste avec l'enfant qui, puni, ne peut que regarder la boîte contenant sa bergerie sans vie ; le petit train qui fait beaucoup de bruit au point de déranger la voisine d'en bas, le gamin qui joue aux (éternels) petits soldats, la course de chevaux (mais le cheval à bascule ne peut pas gagner, puisque quand on veut le faire avancer il recule !), etc. La chanson qui concerne  la Tour Eiffel que je vois  comme un très grand jouet qui fait

rêver .Résultat de recherche d'images pour "LA CHANSON DES JOUJOUX" les enfants, en 1896, nous n'allions pas souvent à l’école,

notre savoir venait des mots que nous chérissions.

J’ai écris un peu de l’histoire d’Alphonsine, j’ai retrouvé ses traces, ses traces de vie, ce fut facile, j’ai voyagé dans le temps, je me suis téléporté  dans l’Auvergne des années 1850,  j’ai interrogé les gens, je voulais connaitre  la vie, les mœurs de cette époque avant de rencontrer  Alphonsine. L’Alphonsine des premières années, j’ai connu son grand père, respiré sur ses terres , j’ai gambadé à leurs cotés , j’ai regardé le ciel et la nuit ses étoiles, je peux vous dire aujourd’hui  que le ciel est le même pour tous le monde partout  sur cet terre.

 

Aux noms de tous les miens ;

Marie l'épouse de mon fils René l'enfant que j'ai refusé d'aimer   1913/1953 , Hubert mon petit fils l'oublié  1939/1957, Georges le cousin 1918/1960, Alfred le mari de ma fille 1908/1973 un homme de foi ,  René mon  fils époux de la petite Marie  1906/1986  , Andrée ma fille 1904/1994 ,  Jeanine la saint femme   l'épouse de mon petit fils Alain 1945/1997, René  un autre petit fils  1951/1998  ,  René le mari d'Elisabeth 1915/1990, Elisabeth  l’amie d'Alain ,1920/ 2000 , Frédéric  le fils d'Alain  1969/2019.

A chacun son éternité.

Alphonsine