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Date de création : 04.02.2008
Dernière mise à jour : 15.12.2025
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La conscience .

Le sommeil n'est rien d'autre qu'un état de conscience modifié. Bref la conscience n'est que le résultat d'un ensemble de traitements d'informations : elle n'a pas de siége...coupez plusieurs sources et vous aurez des états modifiés , coupez toutes les sources ; et il n'y aura plus de conscience.

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LA TERRE ..NOTRE MERE.

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partager la terre.

On peut penser ce que l'on veut d'internet mais quand même quelle merveilleuse invention ; je comprends certaines élites qui voit leurs pouvoirs s’amoindrir, aujourd'hui la science est à tout le monde et sans doute des gens prennent peur que en plus de partager la science on leurs demande de partager la terre.

Des métiers d'autrefois.

Métiers d'autrefois ,

  Les "pieds rouges" ... de la baie du Mont St Michel !

Les pieds-rouges récoltent dans la baie du Mont-Saint-Michel le varech sur le rivage et pêchent sur les vastes étendues découvertes par la marée ...

 L’estran du Mont-Saint-Michel est immense, même s’il faut éviter les sables mouvants. Le pêcheur, appelé ici pied-rouge, ce qui exprime bien la dureté du métier, peut se contenter de la récolte des coques ou de praires à l’aide de fourches à moins qu’il ne dispose d’un cheval pour labourer le sable et la vase.

 Engins de pêche à pied :

 * la griffe à dents ...

 Composée d’une extrémité au maximum de 4 dents recourbées d’une longueur maximum de 15 centimètres et espacées de 2 centimètres au minimum.

   * le panier de pêche pour coquillages ...

 Il peut aussi pourchasser la crevette grise à l’aide d’une chevrette ou bichette, filet carré fixé sur un "bout" et tendu grâce à deux manches de bois en X recourbées à la base pour glisser sur le sable. Il peut aussi utiliser une "fouine", foëne ou fane, harpons primitifs destiné à la chasse des poissons plats dans les trous d’eau. Nécessitant un habile coup d’œil, cette méthode laisse souvent la place à l’utilisation d’un râteau de bois dont l’écartement des dents est l’objet de multiples litiges avec l’administration maritime. Cette pêche des poissons plats peut aussi se pratiquer à l’aide d’un petit chalut, de seize mètres sur trois, traîné à l’aide de deux perches dans une trentaine de centimètres d’eau ...au casier, au filet ...

D’autres types de pêche sont moins harassantes. Le pêcheur peut déposer des casiers ou bourraches, cloches en osier lestées de pierres, utilisés aussi pour la pêche côtière et mouillés par de petits navires, les "picoteux" entre les rochers. Ils permettent de capturer les crustacés et en particulier les homards appréciés des Anglais.

Pour toutes les catégories de poissons, il est possible de tendre des filets d’une hauteur de 5 mètres. La base est fixée avec des pierres, le sommet est attaché avec des pièces de liège pour qu’il s’élève en même temps que la marée.

Une dernière pratique consiste à tendre des lignes de fonds. Fixées aux extrémités par des pieux ou des pierres, ces lignes sont composées d’une corde maîtresse d’où partent les lignes souvent appâtées par des lançons pêchées dans la vase. A Hauteville-sur-Mer, elles sont nommées bélecs et les praticiens, les bélassons. 

- En dehors de la pêche, les "pieds rouges" peuvent compléter leurs revenus par la chasse. Le gibier visé est essentiellement constitué des oiseaux migrateurs comme les canards ou les oies sauvages. Si l’activité est déjà sévèrement réglementée, le braconnage est une activité courante à peine réprimée.

- Le ramassage du varech constitue une autre activité complémentaire mais les paysans préfèrent souvent la tangue, une vase marine riche en minéraux et en micro-organismes récoltée dans la partie haute de la baie ou plus au nord. 

Les « Pieds Rouges »  - collection 1900 -

 

Un métier d'autrefois toujours apprécié ... le Chapelier !

 
Un métier d'autrefois toujours apprécié ... le Chapelier !

LE CHAPELIER : (bientôt la Ste Catherine !)

 

 

Le chapelier fabricant réalise des chapeaux en série : sur des formes en bois (travail au plateau), à la presse sur des formes en aluminium (travail à la pédale), en assemblant des tresses sur des machines chaînette, en assemblant des pièces de tissu sur des piqueuses plates.

Le métier de chapelier se divisait au Moyen Âge en plusieurs branches.

 Il y avait les chapeliers « de fleurs », les chapeliers « de coton », les chapeliers « de paon », les « faiseuses de chapeaux d'orfrois », et enfin les chapeliers « de feutre », qui finirent par se substituer à tous les autres chapeliers.

 

Dans le haut Moyen Âge, le terme chapeau s'entendait aussi bien d'une couronne de métal ou de fleurs que du véritable couvre-chef, et l'usage du chapeau-couronne semble remonter fort loin : quelques auteurs en ont attribué l'invention aux Gaulois.

 

Sans rien affirmer à cet égard, disons seulement que la mode en persista très longtemps au Moyen Âge : comme on portait les cheveux très longs, il fallait les retenir et les empêcher de tomber sur les yeux.

 

Les Chapeaux de fleurs furent plus tard remplacés dans la classe riche par des cercles d'orfèvrerie ornés de perles précieuses.

 

Toutefois le « chapel de fleurs » resta à titre de redevance féodale, et fut considéré comme une marque d'honneur et de respect.

 

 

À la fin du XVe siècle, les dames de Naples offrirent à Charles VIII, à son entrée dans leur ville, une couronne de violettes.

 

Les chapeaux de paon et d'orfrois ne furent portés que par les femmes.

Sans doute les plumes de paon étaient alors plus coûteuses qu'elles ne le sont aujourd'hui, bien que le noble oiseau figurât souvent sur la table des grands seigneurs.

 Quoi qu'il en soit, c'était un ornement réservé aux grandes dames, qui s'en servaient pour décorer les coiffures compliquées dont elles s'affublèrent au XIVe siècle et surtout au XVe siècle.

 Quant aux chapeliers de coton, ils ne vendaient pas à vrai dire de chapeaux, mais surtout des bonnets et des gants de laine.

 (Source wikipédia)

 

Les Métiers d' Autrefois ... Le Sourcier !

 
Les Métiers d' Autrefois ... Le Sourcier !

Un sourcier est une personne qui recherche de l’eau souterraine en utilisant des baguettes ou un pendule. Dans l’Antiquité, la baguette est utilisée comme moyen de divination pour interroger les dieux ; son usage pour trouver de l’eau ou des métaux remonte au XVè siècle en Allemagne (du moins en ce qui concerne l'Europe).

Les alchimistes attribuent à cette pratique des vertus magiques ; en 1517, Luther la condamne.

Au XVIIe siècle Martine de Bertereau et Jean du Châtelet, Baronde Beausoleil utilisent des baguettes de sourcier pour trouver des mines en Europe, puis ils popularisent son usage pour trouver de l'eau souterraine.

L'utilisation du pendule pour trouver des sources ou des mines date de la fin du XVIIe siècle.

L'usage se répand en Europe au XVIIIe et au XIXe siècle, puis il se raréfie au Xxe sècle.

Disposer d'un puits était jadis la meilleure façon de se procurer l'eau (potable ou non) dont on avait besoin, et les seules méthodes pour justifier l'emplacement d'un puits était alors l'approche scientifique, rare, et le sourcier.

Les sourciers, dont les techniques empiriques ont été décrites par le physicien Yves Rocard, se consacraient à cette tâche au point que leur art était devenu une profession : chaque département français ou presque eut son ou ses sourciers.

La profession se raréfia à mesure que s'étendait le réseau d'eau courante.

En France, de nos jours, des sourciers collaborent avec des entreprises privées et des artisans dans la recherche d'eau et pour trouver les lieux adéquats pour le Forage.

Historiquement, les premiers sourciers utilisaient le plus souvent une baguette en bois de coudrier (ancien nom du noisetier), en forme de Y.

Les sceptiques évoquent des expériences faites dans des conditions rigoureuses, dites à double insu, qui ont montré que les sourciers ne faisaient pas mieux qu'un choix au hasard dans le cadre de ces expériences.

 

Les métiers d'autrefois ... Le Laboureur !

 
Les métiers d'autrefois ... Le Laboureur !

 

Le LABOUREUR ...

 

Laboureur : une appellation qui a disparu avec l’Ancien Régime.

On s’imagine trop facilement qu’elle équivaut à l’agriculteur d’aujourd’hui.

C’est compter sans la multitude de niveaux sociaux des ruraux d’autrefois.

Le laboureur est un paysan aisé, qui possède au moins un attelage.

 

 

 

Le laboureur et l’entraide villageoise :

 

Laboureurs et villageois s’entraident mutuellement au temps des moissons ou des semailles : le laboureur prête ses chevaux et sa charrue à ceux qui n’en ont pas, ceux-ci lui fournissant en contrepartie leurs bras au moment des récoltes.

"Avec sa paire de chevaux accompagnés souvent d’une cavale et d’un poulain, écrit l’historien Pierre Goubert, le laboureur exploitait aussi quelque fermage qui pouvait égaler en étendue ses propres terres, et il labourait pour des voisins moins fortunés.

 

Toujours propriétaire de sa maison, il en donnait souvent en louage une seconde, qui lui était venue d’un aïeul ou d’un beau-père également laboureur ; car les laboureurs se mariaient entre eux et s’accrochaient solidement aux lopins légués par leurs ancêtres."

 

Moins de bétail et plus de terres :

Chevaux mis à part, le laboureur a rarement beaucoup de bétail.

Il préfère travailler la terre, même s’il n’en est pas le propriétaire.

Dans la plupart des provinces françaises en effet, la noblesse et le clergé possèdent souvent entre la moitié et les deux tiers des terres cultivables.

Le laboureur en a bien sûr quelques hectares en propre, rarement plus d’une dizaine, mais il loue un complément, des champs qui jouxtent les siens par exemple, ou bien de meilleures terres.

Les baux sont en général de neuf années, renouvelables.
Aussi n’est-il pas rare de voir un laboureur et sa famille déménager tous les deux ou trois ans à quatre ou cinq kilomètres de son ancien logis : les déplacements se font de ferme en ferme, de village en village, au gré des opportunités, surtout si la fortune de la famille est modeste.

"Pour essayer d’accroître leurs ressources, pour mieux employer leurs chevaux insuffisamment utilisés sur une médiocre étendue de terres, tous les petits laboureurs prirent des fermages, un, deux, trois, jusqu’à six petits fermages."

 

 

Le laboureur, économiquement indépendant, est en quelque sorte un chef de village qui participe activement aux institutions villageoises, bien plus dynamiques et puissantes que celles de nos villages contemporains.

De lui dépendent aussi le matériel et les possibilités d’emploi qui permettent aux plus pauvres de subsister.
C’est la Révolution qui permettra à ces "coqs de village" d’étendre leurs terres par l’achat de biens nationaux et de se muer en "propriétaires-cultivateurs".

Extrait du chapitre concerné, dans l’ouvrage Les métiers d’autrefois, de Marie-Odile Mergnac, Claire Lanaspre, Baptiste Bertrand et Max Déjean, Archives et Culture.


Le laboureur : un personnage important !