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Nom du blog :
horobindo
Description du blog :
JE SUIS "L'AFFRANCHI" de certitudes...je suis l'univers. http://horobindo.centerblog.net
Catégorie :
Blog Philosophie
Date de création :
04.02.2008
Dernière mise à jour :
14.10.2025

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IL ETAIT UNE FOIS - LA POESIE.

IL ETAIT UNE FOIS - LA POESIE.

 
IL ETAIT UNE FOIS - LA POESIE.

 

Pour avoir des chances de comprendre vraiment ;

" la conscience de soi "

il faut repenser  la nuit   des premiers temps et l'émergence de "la vie" qui à  pu à partir d'une nécessité  développer différents modules en partant de la simplicité , jusqu'à la complexité ,

 on retrouve là, le même processus qui à partir de simples particules à crée un univers.

Étrange et extraordinaire

 cet univers qui voulait devenir conscient de lui-même ,  comme si l'univers et la vie consciente , étaient deux faces d'un même sujet .

L'on peut longuement méditer sur ces mots , nul besoin d'être l'apôtre de quelque chose ou le souffle d'un saint Bernard ,

mes mots qui me servent à bâtir ma maison .

La science ne suffira pas à expliquer et comprendre le phénomène de la conscience et les habits (intelligence) qui lui donnent son panache et sa réalité , il se peut qu'un nouveau concept  soit le lien qui manque actuellement à la science.

La science qui est muette quand il s'agit de dire ce qu'il y avait avant le bigbang, la science qui a des ailes pour décrire notre monde   , la science qui éprouve les pires difficultés à décrire la " nature" de la conscience.

Horobindo

 

 

 ..On est tout fier d'écrire un beau texte   ,  mais à bien y réfléchir, on écrit rien de nouveau , tout a déja été écrit.

horobindo

 

 

 

 

 

 

 

 
Pierrot et Colombine

Je suis un simple pierrot qui aime une colombine;
Je suis un simple lunaire qui n'aime d'éphémère.
Voici mon chant ma douce, écoute cette comptine
Elle est pour toi que je rêve ; pour toi que j'espère.

Quand tu souris mon cœur sourit: Je suis heureux,
Car mon cœur de toi, colombine, est tombé amoureux.

Parce que je ne vis mes rêves que dans l'irréel
Car mes rêves sont si vrai; si beaux, si réel.
Parce que je vis mon amour à travers mes songes,
Car ma vie est une longue tresse de mensonge.

Quand tu souris mon cœur sourit: Je suis heureux,
Car mon cœur de toi, colombine, est tombé amoureux.

Parce que je suis un éternel pierrot lunaire
Car cette lune est la plus douce des aires.
Parce que je vogue dans mes délires et prie
Pour que ceux-ci deviennent vrai; prennent vie.

Quand tu souris mon cœur sourit: Je suis heureux,
Car mon cœur de toi, colombine, est tombé amoureux.

Parce que j’ai toujours peur de ce qui pourrait être
Et que je n’arrive pas à voir ni à vivre ce qui est,
Parce que je n’ose pas te parler pour dire qu’être
Près de toi c’est le plus sincère de mes souhaits.

Quand tu souris mon cœur sourit: Je suis heureux,
Car mon cœur de toi, colombine, est tombé amoureux.

Parce que je suis, ma colombine, un maudit, un rêveur
Je n'ai pas su te dire comme mon amour est sincère.
Comme il me fait mal aujourd'hui et l'a fait hier;
Comme tu me feras mal demain et comme j’ai peur.

Mais…
Quand tu souris mon cœur sourit: Je suis heureux,
Car mon cœur de toi, colombine, est tombé amoureux.

Dit, colombine, que peut faire un pierrot,
Qui sans cesse à peur d'entendre les mots,
Que pourrait lui dire la belle lunaire,
Qui retournerait, seule, vivre sur terre?

En attendant…
Quand tu souris mon cœur sourit: Je suis heureux,
Car mon cœur de toi, colombine, est tombé amoureux.
 
 
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LE PAPILLON
LE PAPILLON

Naître avec le printemps, mourir avec les roses,
Sur l' aile du zéphyr nager dans un ciel pur,
Balancé sur le sein des fleurs à peine écloses,
S' enivrer de parfums, de lumière et d' azur,
Secouant, jeune encor, la poudre de ses ailes,
S' envoler comme un souffle aux voûtes éternelles,
Voilà du papillon le destin enchanté !
Il ressemble au désir, que jamais ne se pose,
Et sans satisfaire, effleurant toute chose,
Retourne enfin au ciel chercher la volupté !


Alphonse de LAMARTINE

 
Premier sourire du printemps
Premier sourire du printemps


Tandis qu'à leurs oeuvres perverses
Les hommes courent haletants,
Mars qui rit, malgré les averses,
Prépare en secret le printemps.

Pour les petites pâquerettes,
Sournoisement lorsque tout dort,
Il repasse des collerettes
Et cisèle des boutons d'or.

Dans le verger et dans la vigne,
Il s'en va, furtif perruquier,
Avec une houppe de cygne,
Poudrer à frimas l'amandier.

La nature au lit se repose ;
Lui descend au jardin désert,
Et lace les boutons de rose
Dans leur corset de velours vert.

Tout en composant des solfèges,
Qu'aux merles il siffle à mi-voix,
Il sème aux prés les perce-neiges
Et les violettes aux bois.

Sur le cresson de la fontaine
Où le cerf boit, l'oreille au guet,
De sa main cachée il égrène
Les grelots d'argent du muguet.

Sous l'herbe, pour que tu la cueilles,
Il met la fraise au teint vermeil,
Et te tresse un chapeau de feuilles
Pour te garantir du soleil.

Puis, lorsque sa besogne est faite,
Et que son règne va finir,
Au seuil d'avril tournant la tête,
Il dit : " Printemps, tu peux venir ! "

Théophile GAUTIER (1811-1872)
 
Poéme
“La jeune Tarentine”1785-1787


Pleurez, doux alcyons, ô vous, oiseaux sacrés,
Oiseaux chers à Thétis, doux alcyons, pleurez.
Elle a vécu, Myrto, la jeune Tarentine.
Un vaisseau la portait aux bords de Camarine.
Là l’hymen, les chansons, les flûtes, lentement,
Devaient la reconduire au seuil de son amant.
Une clef vigilante a pour cette journée
Dans le cèdre enfermé sa robe d’hyménée
Et l’or dont au festin ses bras seraient parés
Et pour ses blonds cheveux les parfums préparés.
Mais, seule sur la proue, invoquant les étoiles,
Le vent impétueux qui soufflait dans les voiles
L’enveloppe. Étonnée, et loin des matelots,
Elle crie, elle tombe, elle est au sein des flots.
Elle est au sein des flots, la jeune Tarentine.
Son beau corps a roulé sous la vague marine.
Thétis, les yeux en pleurs, dans le creux d’un rocher
Aux monstres dévorants eut soin de la cacher.
Par ses ordres bientôt les belles Néréides
L’élèvent au-dessus des demeures humides,
Le portent au rivage, et dans ce monument
L’ont, au cap du Zéphir, déposé mollement.
Puis de loin à grands cris appelant leurs compagnes,
Et les Nymphes des bois, des sources, des montagnes,
Toutes frappant leur sein et traînant un long deuil,
Répétèrent : « hélas ! » autour de son cercueil.
Hélas ! chez ton amant tu n’es point ramenée.
Tu n’as point revêtu ta robe d’hyménée.
L’or autour de tes bras n’a point serré de nœuds.
Les doux parfums n’ont point coulé sur tes cheveux.

Chénier

poéme appris en primaire

 
Poéme
L'enfant de la misère

L'enfant n'a pas six ans
Et jamais un sourire
N'adoucit en passant
Son visage de cire
Ces yeux profonds et bleus
n'ont pas l'air de comprendre
Qu'on soit si malheureux
A un âge si tendre

C'est l'enfant de la misère
que l'on vient de ramasser
Et qui reçoit de sa mère
que des injures et des coups
On la prend on la console
On la met dans un lit blanc
Et pour elle, la vie s'envole
Pour la pauvre petite enfant

Sa mère encore plus ivre
La prend brutalement
L'attache au lit de cuivre
Elle se mit à frapper
A larges coups sonores
Sur le corps éplorée
de l'enfant qui l'implore

C'est l'enfant de la misère
que l'on vient de ramasser
Et qui reçoit de sa mère
que des injures et des coups
On la prend on la console
On la met dans un lit blanc
Et pour elle, la vie s'envole
Pour la pauvre petite enfant

Dans une chambre blanche,
un homme en blanc s'approche
de l'enfant et lui demande :
"est ce que c'est ta maman qui t'a fait ça?

Et l'enfant de la misère,
Répondit tout doucement
Pour ne pas trahir sa mère
Non ce n'est pas ma maman
Et l'enfant de la misère
répondit tout doucement
Avant de quitter la terre
Je veux revoir ma maman


Quand comprendra-t-on que l'enfant est le bien le plus précieux qu'on puisse avoir sur cette terre?
Malheureusement ces choses là existe.
 
Poéme
Dis-moi petite, qui t’a blessée?


Dis-moi petite, qui t'a blessée?
…Je ne puis le dire sans rougir

Dis-moi petite, qui t'a humiliée?

.. Je ne puis le dire sans mourir

Dis-moi petite, qui t'a touchée?
…Je dois me taire et le cacher

Peux-tu encore aimer?

Non, je veux me refermer et bien loin m'envoler
Pour pouvoir échapper à ce maudit “secret”

Texte trouve sur le net
 
Poéme
Je connais des bateaux

Je connais des bateaux qui restent dans le port
De peur que les courants les entraînent trop fort,
Je connais des bateaux qui rouillent dans le port
A ne jamais risquer une voile au dehors.

Je connais des bateaux qui oublient de partir
Ils ont peur de la mer à force de vieillir,
Et les vagues, jamais, ne les ont séparés,
Leur voyage est fini avant de commencer.

Je connais des bateaux tellement enchaînés
Qu'ils en ont désappris comment se regarder,
Je connais des bateaux qui restent à clapoter
Pour être vraiment surs de ne pas se quitter

Je connais des bateaux qui s'en vont deux par deux
Affronter le gros temps quand l'orage est sur eux,
Je connais des bateaux qui s'égratignent un peu
Sur les routes océanes où les mènent leurs jeux.

Je connais des bateaux qui n'ont jamais fini
De s'épouser encore chaque jour de leur vie,
Et qui ne craignent pas, parfois, de s'éloigner
L'un de l'autre un moment pour mieux se retrouver.

Je connais des bateaux qui reviennent au port
Labourés de partout mais plus graves et plus forts,
Je connais des bateaux étrangement pareils
Quand ils ont partagé des années de soleil.

Je connais des bateaux qui reviennent d'amour
Quand ils ont navigué jusqu'à leur dernier jour,
Sans jamais replier leurs ailes de géants
Parce qu'ils ont le cœur à taille d'océan.
 
 
Poéme
L’enfant de misère

Toi l ' enfant de misère, qui vis sur cette terre
Tu arpentes les trottoirs, et sans aucun espoir.
Tu avances tête baissée, sans vraiment espérer
Les regards te fond peur, et te blessent le coeur.


Toi l ' enfant de misère, qui n ' a pas de mère
Tu marches dans la nuit, en cherchant un abri
Le corps trop épuisé, tu ne cesses de marcher
Sans savoir où tu vas, tu guides tes pas.


Toi l ' enfant de misère, qui n ' a pas de père
Tous tes rêve sont partis, et ton âme est meurtrie
Devant l ' indifférence, on ne te laisse aucune chance
Tu dois seule affronter, la vie qu ' on t ' a donné.


Toi l ' enfant de misère, que la vie indiffère.
Les jambes fatiguées, tu cesses d ' avancer
Tu te poses un instant, le regard nonchalant
Et le froid et la faim, a tracé ton chemin


Toi l ' enfant de misère, sans loi ni repère
Le ciel vient te chercher, tu as cessé de pleurer
Tu t ' en vas sans un bruit, le combat est fini
Et l ' enfant de misère, a quitté cette terre.

L'enfant de la terre, a quitté la misère.