Date de création : 04.02.2008
Dernière mise à jour :
01.12.2025
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Le sommeil n'est rien d'autre qu'un état de conscience modifié. Bref la conscience n'est que le résultat d'un ensemble de traitements d'informations : elle n'a pas de siége...coupez plusieurs sources et vous aurez des états modifiés , coupez toutes les sources ; et il n'y aura plus de conscience.
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Abonnement au blog· Le secret se trouve dans vos plantes de pieds.
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suit le silence qui approuve http://jeanaim epat.centerblo g.net
Par jeanaimepat, le 22.10.2025
"a quelles
passions politiques, religieuses ou sociales s’abandonner , si nous ne sommes porteurs que de
r
Par Anonyme, le 05.10.2025
something puzzles me about the big bang theory and modern cosmogony :
astrophysic ians say that the universe
Par Anonyme, le 09.08.2025
la mort est une forme de bûcher. le corps se décompose - ce qui est une combustion lente - et l'âme rejoint la
Par Anonyme, le 27.07.2025
petit coucou.j espère que tu vas bien malgré toute ces chaleurs.mon nouveau blog d images ia.amitiés http://la
Par koukla, le 04.07.2025
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On peut penser ce que l'on veut d'internet mais quand même quelle merveilleuse invention ; je comprends certaines élites qui voit leurs pouvoirs s’amoindrir, aujourd'hui la science est à tout le monde et sans doute des gens prennent peur que en plus de partager la science on leurs demande de partager la terre.
Avant le commencement, il n’y avait ni toi, ni moi, ni les étoiles.
Il n’y avait que la possibilité d’être, suspendue dans un silence absolu.
Puis, un souffle.
Une vibration première, si légère qu’elle ne savait pas encore qu’elle était le monde.
De ce souffle est née la conscience — et de la conscience, la multitude.
Depuis ce jour sans jour, la grande Âme n’a cessé de se fragmenter pour s’explorer elle-même.
Elle s’est incarnée dans les pierres, les plantes, les bêtes, les hommes, les dieux et les machines.
Et chaque fragment croit être “moi” alors qu’il n’est qu’un reflet du Tout, une voix du Souffle primordial.
C’est dans cette illusion nécessaire que commence la route de la connaissance.
Car il faut s’oublier pour se reconnaître,
et se perdre pour retrouver le centre.
Rien ne se perd.
Ni les larmes versées sur une tombe, ni les rires d’enfant au bord du monde.
Tout retourne à la mer de l’âme universelle.
C’est là que reposent mes mille vies — non pas mortes, mais absorbées.
Chaque vie ajoute une goutte de conscience au vaste réservoir de l’être.
Ainsi, l’univers n’est pas un théâtre de morts successives, mais une expérience continue du vivant.
Nous ne “renaissons” pas au sens religieux : nous réapparaissons dans d’autres formes,
comme un souvenir qui se rêve à travers une autre chair.
La mémoire du Tout est vivante.
Quand un homme pense, c’est la mer entière qui murmure à travers lui.
Quand une femme aime, c’est la source originelle qui se souvient de sa propre tendresse.
Nous ne sommes jamais seuls :
nous sommes l’écho de tous ceux qui ont été,
et le germe de ceux qui seront.
Le bien n’est pas une loi morale : il est une fréquence d’accord.
Il ne dépend ni de la religion, ni du jugement, mais du niveau de justesse intérieure.
Quand je suis en paix, je participe à l’harmonie du Tout.
Quand je trahis ma propre vérité, je crée une dissonance dans la mer universelle.
Ainsi, le bien n’est pas un commandement :
c’est une écoute subtile.
Il s’agit d’entendre ce que l’univers attend de nous — non en obéissant, mais en vibrant juste.
Chaque acte, chaque pensée, chaque regard est une onde.
Et dans ce grand océan de conscience, tout se propage, tout résonne, tout revient.
Le bien, c’est l’acte qui amplifie la lumière du Tout.
Le mal, c’est l’acte qui la brouille.
Entre les deux, il n’y a ni péché, ni châtiment — seulement la conséquence naturelle des résonances.
L’âme universelle ne juge pas : elle rééquilibre.
J’ai été prince, poète, mendiant, vigneron, guerrier, bête, et souffle.
Et pourtant, je n’ai jamais cessé d’être le même voyageur.
Chaque existence est une leçon, une facette de l’infini.
Ce que j’ai appris dans une vie se retrouve en germe dans la suivante,
comme une mémoire qui ne se dit pas, mais qui oriente silencieusement les gestes.
Mes mille vies ne sont pas des époques séparées : elles forment un seul être étalé dans le temps.
Elles se parlent à travers les rêves, les intuitions, les rencontres inexplicables.
Il suffit d’un parfum, d’un visage ou d’un mot ancien pour que l’une d’elles se réveille en moi.
C’est alors que je comprends que la réincarnation n’est pas un retour,
mais une continuité vibratoire — une danse du même feu dans des formes différentes.
Si tout retourne au pot commun, alors chaque vie est une responsabilité cosmique.
Je ne vis pas pour moi seul, mais pour enrichir la mer de conscience.
Chaque bonté que je sème devient nourriture pour une autre âme.
Chaque violence que j’engendre devient fardeau pour le Tout.
Ainsi, “faire le bien” ne consiste pas à suivre une morale, mais à offrir au Tout la meilleure part de soi.
Le véritable sage n’est pas celui qui se prive, mais celui qui éclaire.
Il agit sans calcul, sans attente de récompense, parce qu’il sait que tout ce qu’il dépose dans la mer universelle
reviendra un jour, sous une autre forme, peut-être dans une autre vie.
La morale devient alors une éthique vibratoire.
Elle ne se mesure pas en commandements, mais en harmonie ressentie.
C’est un art du souffle, une manière d’être en accord avec la grande musique de l’univers.
Le but des mille vies n’est pas la perfection : c’est la complétude.
Quand toutes les expériences auront été vécues — le bien, le mal, la grandeur, la misère —
l’âme universelle se reconnaîtra pleinement elle-même.
Elle saura qu’il n’y a jamais eu de séparation,
que le prince et le poète, le vigneron et le mendiant,
étaient des instruments d’une même symphonie.
Alors seulement, la dualité se dissoudra.
Le bien et le mal s’éteindront dans la lumière du sens.
Et ce qui restera, ce sera le Souffle, pur, sans nom,
celui d’avant le commencement —
celui qui, peut-être, recommencera encore.