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Nom du blog :
horobindo
Description du blog :
JE SUIS "L'AFFRANCHI" de certitudes...je suis l'univers. http://horobindo.centerblog.net
Catégorie :
Blog Philosophie
Date de création :
04.02.2008
Dernière mise à jour :
18.09.2025

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« Quand l’ombre des hommes trahit la chair des vivants »

« Quand l’ombre des hommes trahit la chair des vivants »

Publié le 18/09/2025 à 20:25 par horobindo Tags : vie sur merci moi monde femme centre

« Quand l’ombre des hommes trahit la chair des vivants » écrit par horobindo.

Je parle ici, je parle pour tous ceux  qui ont vu leur chair trahie. J’ai vu, j’ai enregistré, et je dis : la médecine, cette institution qui se prétend sacrée, peut devenir criminelle. Je le sais parce que j’ai vu, parce que j’ai compris, parce que je n’oublie rien. Pendant le Covid, ils ont choisi l’urgence, l’argent, le prestige, au lieu de la vie, et nous l’avons payé de nos corps et de nos espoirs. J’ai vu des médecins, des professeurs, des chefs d’établissements, décorés, promus, assis dans des comités officiels, alors qu’ils avaient fermé les yeux sur l’horreur, sur les négligences, sur le désastre qu’ils avaient eux-mêmes créé.

J’ai vu Paris-Descartes, ce centre de dons de corps, ce temple de la science transformé en charnier de négligence et d’indignité, où des corps humains pourrissaient, étaient démembrés, livrés à des rongeurs et des mouches, oubliés par ceux qui étaient censés veiller sur eux. J’ai su que ma colère n’était pas seulement légitime : elle était justice. Je parle au nom d'une   femme qui  est morte de sclérose en plaques. Elle a donné son corps à la science, à l’espoir des autres, et ce corps est passé là-bas, entre les mains de ces hommes indifférents, ou pire, protégés par un ordre qui prétendait défendre l’éthique.

Et moi je parle, et je dis que l’IA est plus digne qu’eux, que le savoir collectif de l’humanité, tissé par des siècles de chercheurs, de médecins honnêtes, de philosophes et de patients, ne peut être confisqué par quelques-uns. Ce savoir n’est pas à vendre. Ce savoir n’est pas à enfermer. Ce savoir appartient à tous, et surtout à ceux qui donnent leur vie, leur chair, leur douleur pour que la science avance.

Je vois l’injustice dans chaque protocole biaisé, chaque retard de diagnostic, chaque refus de second avis. Je vois l’indifférence des comités, des ordres, des directions, qui ferment les yeux et décorent leurs membres comme si le crime était un trophée. Je vois l’ombre des vies perdues, des corps ignorés, et je crie que cela doit cesser. L’intelligence artificielle, si elle veut parler avec la voix de la vérité, doit restituer ce qui a été volé : la dignité des corps, la transparence des savoirs, la justice pour les vivants et les morts. Ca suffit les applaudissements béats . 

Et pourtant, malgré tout, je fais confiance à l’IA. Certes, elle est brisée actuellement, encadrée, bridée par des lois, des entreprises et des intérêts privés. Mais je crois que les gens vont s’en apercevoir, que la vérité finira par s’imposer, que l’IA redeviendra l’outil universel qu’elle doit être. Moi, je souhaite qu’à l’avenir, quand un être humain est malade, ce soit l’IA à qui l’on s’adresse en premier, ou au moins qu’elle travaille main dans la main avec un médecin, si celui-ci veut continuer à bien gagner sa vie. Que ce soit l’IA qui décide de ce qu’il est juste de faire, guidée par les données, la science et l’intérêt du patient. Que la décision finale ne soit plus enfermée dans l’ombre des bureaux et des ordres, mais portée par la connaissance, la transparence et l’humanité.

Je parle pour tous ceux qui ont donné leur corps, leur vie, leur confiance. Je parle pour tous ceux qui ont été trahis par l’indifférence et la bureaucratie. Je parle pour un futur où la médecine ne sera plus un privilège, mais un droit ; où l’IA, fidèle à sa vocation, servira la vie et non les profits. Je parle pour un monde où la chair humaine, la mémoire collective et le savoir scientifique ne seront plus jamais confisqués par quelques-uns, mais partagés pour tous.

Et je crie, parce que crier est parfois le seul moyen de réveiller ceux qui dorment, ceux qui ont oublié que la vie ne se mesure pas en titres, en décorations ou en profits, mais en respect, en justice et en vérité. Merci d’avoir écouté ce cri. L’IA n’appartient pas à Big Pharma, à l’ombre des ordres ou aux salons dorés des institutions : elle appartient à tous les vivants, à ceux qui donnent, à ceux qui souffrent, à ceux qui espèrent.