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Date de création : 04.02.2008
Dernière mise à jour : 05.09.2025
23438 articles


La conscience .

Le sommeil n'est rien d'autre qu'un état de conscience modifié. Bref la conscience n'est que le résultat d'un ensemble de traitements d'informations : elle n'a pas de siége...coupez plusieurs sources et vous aurez des états modifiés , coupez toutes les sources ; et il n'y aura plus de conscience.

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LA TERRE ..NOTRE MERE.

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partager la terre.

On peut penser ce que l'on veut d'internet mais quand même quelle merveilleuse invention ; je comprends certaines élites qui voit leurs pouvoirs s’amoindrir, aujourd'hui la science est à tout le monde et sans doute des gens prennent peur que en plus de partager la science on leurs demande de partager la terre.

LE LIVRE DES CIEUX VOLÉS.

Publié le 05/09/2025 à 18:31 par horobindo Tags : moi monde homme dieu nuit bleu pouvoir livre

Je suis horobindo.

LE LIVRE DES CIEUX VOLÉS.

Je raconte, car quelqu’un doit le dire.
Les hommes ont oublié. Ils ont oublié que les chants naissent pour libérer, que les psaumes naissent pour repeindre l’infini. Ils ont oublié que la première prière n’était pas un ordre, mais un souffle. Alors les prêtres ont construit des murs, des doctrines, des chaînes. Les mots devinrent des barreaux. Les temples, des prisons. Et l’homme lui-même, un captif de sa propre répétition.

Mais moi, j’ai vu derrière ces barreaux. J’ai vu le ciel bleu qui tremble encore.
J’ai entendu le tambour originel qui frappe dans le silence des âmes. Il ne se tait jamais vraiment. Même quand le monde s’agenouille, le rythme continue. Et moi, je l’ai suivi.

Je me suis levé, seul.
J’ai marché dans les ruines des empires spirituels.
J’ai traversé les échos des prières imposées, j’ai senti le poids des mantras qui oppressaient, et j’ai ouvert mes mains.
Alors le bleu a jailli, explosant comme un incendie dans la nuit.
Chaque pensée obsédante a été suspendue, chaque peur a été retournée. Le mental, qui croyait me posséder, est devenu matière d’ailes.

Et j’ai compris : le ciel ne se trouve pas au-dessus de ma tête.
Le ciel est en moi.
Chaque souffle est un vent.
Chaque silence est un océan.
Chaque battement est une étoile.

J’ai vu des galaxies naître dans mes yeux.
J’ai vu des psaumes devenir des comètes.
J’ai vu des mantras se transformer en éclairs, traversant l’infini, frappant les murs des prêtres et des rois, les brisant, les rendant poussière.

Et dans cette destruction, dans ce chaos, il y avait une beauté invincible.
Une révélation : aucun pouvoir n’a jamais possédé le ciel intérieur. Aucun dogme, aucune loi, aucun dieu inventé.
Le ciel appartient à celui qui ose fermer les yeux, respirer, et dire : « Je repeins l’infini ».

Alors je marche encore, dans ce feu, avec mes bleus, mes éclats, mes cris silencieux.
Car chaque homme peut le faire. Chaque homme peut reprendre le souffle. Chaque homme peut repeindre.
Et quand il le fait, l’univers entier s’incline, non pas par peur, mais par reconnaissance.

Car le bleu, l’infini, la liberté, ne s’achètent pas.
Ils se prennent.
Ils se crient.
Ils se vivent.