Statistiques

Date de création : 04.02.2008
Dernière mise à jour : 22.09.2025
23458 articles


La conscience .

Le sommeil n'est rien d'autre qu'un état de conscience modifié. Bref la conscience n'est que le résultat d'un ensemble de traitements d'informations : elle n'a pas de siége...coupez plusieurs sources et vous aurez des états modifiés , coupez toutes les sources ; et il n'y aura plus de conscience.

Images
Thèmes

sourire sur mer vie moi fond femme histoire sourire soi

Abonnement au blog
Recevez les actualités de mon blog gratuitement :

Je comprends qu’en m’abonnant, je choisis explicitement de recevoir la newsletter du blog "horobindo" et que je peux facilement et à tout moment me désinscrire.


Articles les plus lus

· Le secret se trouve dans vos plantes de pieds.
· LE SOURIRE D'UN ENFANT.
· FEMMES DU MONDE.
· FOND D'ECRAN .
· Pierrot et Colombine

· La madone à l'oeillet, par Léonard de Vinci
· Pierrot et Colombine
· Croyances, superstitions... - Le Hibou -
· LA ROSEE DU MATIN.
· Des Citations et grandes pensées.
· Paysages de rizières en terrasses ... en Chine !
· " LA VERITE " C'EST BEAU LE PRESQUE RIEN.
· Gifs Animés SINGES
· abracadabrantesque hypothèse.
· THEME/ le pain.2

Voir plus 

Rubriques

>> Toutes les rubriques <<
· En ce temps là. (4765)
· IL ETAIT UNE FOIS ALPHONSINE (8)
· ENFOUI DANS LA MER. (134)
· P- ACTUALITES INTERDITES. (806)
· Les souvenirs de ces années là! (350)
· LE SAVIEZ VOUS! (421)
· Ad vitam æternam (1304)
· on n’a pas le cul sorti des ronces » (631)
· Des Oiseaux - (62)
· IL Y A DE LA LUMIERE. (794)

Rechercher
Derniers commentaires

something puzzles me about the big bang theory and modern cosmogony : astrophysic ians say that the universe
Par Anonyme, le 09.08.2025

la mort est une forme de bûcher. le corps se décompose - ce qui est une combustion lente - et l'âme rejoint la
Par Anonyme, le 27.07.2025

petit coucou.j espère que tu vas bien malgré toute ces chaleurs.mon nouveau blog d images ia.amitiés http://la
Par koukla, le 04.07.2025

c.i.a. : constant integrated awareness a .i. : avoid inquiry
Par Anonyme, le 08.06.2025

bonjour. je cherche une famille d accueil pour une télé clarville qui ferme avec portes cdlt
Par paret, le 07.06.2025

Voir plus

LA TERRE ..NOTRE MERE.

%3Cp%3E%3Cem%3EUn%20terrible%20hiver%20glacial%20long%20de%20dizaines%20de%20millions%20d%27ann%E9es%20prenait%20fin%20%2C%20un%20hiver%20provoqu%E9%20par%20le%20cycle%20de%20%22%20n%E9cessit%E9%22%20et%20un%20volcanisme%20effr%E9n%E9%20avait%20vol%E9%20le%20ciel%20%2C%20la%20nuit%20s%27%E9tait%20mari%E9e%20avec%20le%20jour...%29%20%3C/em%3E%3C/p%3E

partager la terre.

On peut penser ce que l'on veut d'internet mais quand même quelle merveilleuse invention ; je comprends certaines élites qui voit leurs pouvoirs s’amoindrir, aujourd'hui la science est à tout le monde et sans doute des gens prennent peur que en plus de partager la science on leurs demande de partager la terre.

Ce jour-là, la vie a décidé de recommencer

Publié le 07/08/2025 à 09:03 par horobindo Tags : sur mer vie moi fond femme histoire sourire
Ce jour-là, la vie a décidé de recommencer

Ce jour-là, la vie a décidé de recommencer.

écrit par horobindo.

Je me souviens d’un matin sans nom, un matin que personne n’a noté dans les livres, mais que mon cœur n’a jamais oublié, un de ces matins où le ciel semblait respirer avec moi, où tout, même l’invisible, même l’oublié, semblait attendre quelque chose de nouveau, un de ces jours où l’on sent que la vie a décidé de recommencer, sans prévenir, sans cloche, sans raison, juste parce qu’il est temps.

Ce jour-là, je n’avais rien de plus que d’habitude, ni fortune, ni gloire, ni promesse particulière, j’avais juste ce battement dans la poitrine, ce frémissement inexplicable qui me disait : « avance, aujourd’hui quelque chose va éclore. » Et j’ai écouté. Je n’ai pas cherché à comprendre, je n’ai pas demandé de garantie, je me suis simplement mis en route, comme un arbre qui pousse sans savoir où seront ses branches, comme une rivière qui coule sans avoir vu la mer.

Je marchais dans une campagne silencieuse, là où les chemins n’ont pas de nom et les herbes ne demandent rien, je marchais sans me presser, chaque pas une offrande, chaque souffle un oui. Et voilà que je l’ai vue. Une femme très vieille, assise sur une pierre, le dos droit comme une flamme, les mains jointes sur ses genoux, les yeux pleins d’un ciel que je ne connaissais pas encore. Elle ne parlait pas, elle me regardait venir, comme si elle m’attendait depuis toujours.

Quand je suis arrivé à sa hauteur, elle m’a souri. Ce sourire, je ne l’oublierai jamais. Il ne disait rien, mais il contenait tout : la paix, la tendresse, la confiance, la force, comme si elle savait ce que j’étais, ce que j’allais devenir, ce que j’avais traversé. Je me suis assis près d’elle, et ensemble, sans un mot, nous avons regardé le paysage respirer. Il n’y avait rien à dire, tout était déjà là. Et dans ce silence partagé, j’ai senti quelque chose se réveiller en moi, une chaleur simple, une évidence : j’étais vivant, et cela suffisait.

La vieille femme a fini par parler, d’une voix douce et posée, comme une source sous la mousse :

« Tu cherches quelque chose, mais ce n’est pas loin. Tu cherches de la force, mais elle est déjà en toi. Tu crois que tu dois mériter la lumière, mais la lumière ne demande rien, elle vient à ceux qui s’ouvrent. »

Puis elle s’est levée, très lentement, comme un arbre qui se redresse après l’hiver, et elle est partie sans se retourner, laissant derrière elle une paix dense, comme un manteau invisible posé sur mes épaules. Je ne l’ai jamais revue, et pourtant, depuis ce jour, elle marche avec moi. Chaque fois que je doute, je revois son regard. Chaque fois que je tombe, je sens ses mains invisibles me relever. Elle est devenue mon souffle secret, ma certitude sans preuve.

Alors j’écris pour toi qui me lis, toi qui cherches peut-être un signe, une réponse, une étincelle. Je n’ai pas de vérité à t’imposer, mais j’ai une lumière à te tendre, celle que j’ai reçue ce matin-là, sur un chemin sans nom. Si tu lis ces mots, ce n’est pas un hasard. Peut-être est-ce ton matin à toi. Peut-être que quelque chose en toi attendait que l’on te dise doucement :
Tu as le droit d’y croire.
Tu as le droit d’aller bien, de recommencer, de changer de vie, de rêver encore, même après l’épuisement.
Tu as le droit de marcher vers toi, sans bruit, sans gloire, juste avec cette certitude douce : la vie n’a pas fini de te sourire.

Je suis Horobindo.
Et si je t’ai raconté cette histoire, ce n’est pas pour qu’on l’admire, c’est pour qu’elle vive en toi.
C’est pour que tu te souviennes qu’au fond de toi, tout est possible.