Nom du blog :
horobindo
Description du blog :
JE SUIS "L'AFFRANCHI" de certitudes...je suis l'univers. http://horobindo.centerblog.net
Catégorie :
Blog Philosophie
Date de création :
04.02.2008
Dernière mise à jour :
09.10.2025
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écrit par horobindo
J'étais une personne sans suffixe, sans iste- ni phobe c'est la mode pour affirmer mon existence. J'avais inconsciemment rejoint le seul club qui importe. Le nombre dans les milliards, ne fait pas payer de cotisation et accueille les criminels de carrière. C'est ce qu'on appelle la race humaine. Il y a des années que j'ai déposé mes convictions, et je ne suis pas encore transformé en tueur sociopathe. Au contraire, j'ai développé une profonde affection pour mes camarades de la planète, maintenant que je ne les mesure plus à l'aune de mes croyances. Fini les murs de la pensée qui m'empêchaient de voir qui ils sont vraiment. Et disparue, heureusement ma compulsion à les pointer comme mauvais pour pouvoir paraître vertueux.
Voilà , je t'avais promis de parler du ciel, il te faut savoir mon ami qu'ici on parle vrai.
Qu’on le veuille ou pas , ne faisons pas mine de ne pas comprendre, le problème majeur qui a fait que la femme a été spoliée d’une partie de son humanité et cela depuis l’aube c’ est écrit dans des textes millénaires dont beaucoup et encore aujourd’hui prennent comme vérités ultimes, c’est bien beau de vouloir changer le monde mais c’est perdu d’avance si on a comme modèle des gens qui ont des harems , ou comme bible des textes qui disent que la femme est une partie de l’homme.
Vous pouvez toujours dénoncer " les harceleurs " les vieux , les hommes mais qui êtes vous pour à la fois caresser le ventre de bédouins pour du pétrole et vendre des armes et crier au porc, incohérences qui fait le lit de violences de tous genres.
Je ne vais pas copier ou recopier mes textes ni singer les gens dont c'est normalement le métier de réfléchir, j'assume dans le respect de chacun en tentant d'exprimer ma vérité, je me refuse de gagner ma vie en diffusant de la haine comme ça devient la mode , vous l'avez remarqué sur nos chaines de télé , parfois même sur les réseaux sociaux, bien que je sais qu'il y a des professionnels de styles, payés par des officines qui au grés du temps et de l'actualité parasite l'attention prêt a vendre son âme.
Mais mon Ami, mon frère je t'ai promis du bleu, du ciel, un état d'esprit.
Aussi sacrée ou profonde que soit une croyance, elle n'est rien de plus qu'une pensée , et la pensée n'est jamais la chose qu'elle décrit. Elle peut seulement permettre d’entendre les merveilles qu'elle tente de toucher. Les sermons sur l'amour déforment la beauté ineffable de l’amour. Les discours sur l'unité crachent après la première syllabe. Courtiser les croyances est une prescription pour une vie virtuelle, pas une vie vertueuse. Croire est aussi automatique que marcher, parler ou éternuer, et à peu près aussi remarquable. Nos croyances nous séparent tels des fils de fer barbelés. Sont-elles vraiment nécessaire..se que je crois n'est pas important. Le fait que je puisse mettre de l'ordre dans mes pensées, les trier en opinions et croyances n'est guère impressionnant. En fait, une telle pensée est inévitable. C'est ce que font nos cerveaux humains évolués. Ils comparent, évaluent et jugent dans une tentative sans fin de donner un sens au monde qui nous entoure.
Il fut un temps où je considérais que mes croyances étaient quelque chose de plus qu'un simple assemblage de pensées. Je les ai prises pour quelque chose de beaucoup plus important. Je pensais qu'elles venaient de moi.
On peut se parler toi et moi mon Ami, se parle du ciel, viens il y a un banc .Un petit coin offert pour arrêter le temps, un banc caché ou perdu sur un chemin. En France ou ailleurs, un banc pour reposer son âme, pour ne penser à rien, mais simplement regarder les mouvements du vent et entendre le petit silence. Une Petite larme d'eau blanche.
J'aime assez l'histoire que je me raconte, je l'ai " rêvé' " mon nom est Hélahim.
Nous étions moins de 50 000 mille à sortir d’Afrique, les premiers s'étaient perdu dans l'immensité des plaines, nous étions curieux de connaître le bout du monde nous suivions les troupeaux, c’était, il y a 180 000 ans. Nos origines se perdent dans la nuit des temps, il se disait, le soir devant le feu et un morceau de viande, parfois quelques racines ; que d’autres des gens bizarres, vivaient, loin, très loin au bout du monde .Des centaines de milliers d'années avant que nous les derniers hommes changions de continent à notre tour, il se disait que d'autres avaient disparu dévorés par les esprits. Perdu à jamais, ces parents, isolés pendant des centaines de milliers d'années allaient s'évaporer probablement victimes de maladies apportées par la dernière vague d'africains que nous étions, en tout cas peut être une des causes de leur disparition. Appelez moi Hélahim , j'ai vécu cette époque, je l'ai peut-être rêvé, mais le soir devant le feu, il se disait que nos ancêtres avaient la peau noire, que nous étions les descendants d'une tribu de pygmées, un reste épargné par des phases de climats nécessaires au bon fonctionnement de notre terre , notre berceau , notre maison , la planète bleue dit-on aujourd'hui. Nous sommes très certainement le résultat d'un buissonnement de genres et aussi le résultat d'adaptations variées. Le climat de la planète a été un facteur déterminant dans l'évolution des genres et des espèces. Je suis Hélahim , j'ai vécu en Afrique il y a 60 000 ans. Certains de mes frères que vous appelez Erectus, allez savoir pourquoi et qui sont mes ancêtres avaient découvert une partie du monde, quelques uns de leurs descendants étaient revenus des milliers d'années plus tard avaient transmis à mon peuple des gènes qui mêlés aux nôtres avaient transformé des petits hommes à la peau noire en gaillard costaux , prêt à conquérir la terre entière . De l'unification progressive de l'humanité autour d'un fonctionnement universel, que cesse et se brise les rivalités claniques, nationales, communautaires et religieuses, que les pays dominant actuels rentrent dans le rang, qu'ils perdent la tendance millénaire à s'affirmer aux dépens des autres. Nous sommes une grande famille ; 70 milliards d'êtres ont vécus sur la terre ; les petits, les grands , les noirs la couleur qu'avaient nos deux grands ancêtres , loin dans le temps des australopithèques au cerveau à peine connecté , cousins du temps pour que je puisse ce jour vous raconter l'histoire de Hélahim ; je pourrais sans doute rêver pour ce million de générations qui bat au fond de ma mémoire , vous parler d'Imée, d'Ygril ou d'Emée celle qu'on à voulu appeler Eve par défaut . Notre histoire est une très longue histoire, c'est l'histoire d'un peu de glaise et de notre mère la terre.
On peut se parler toi et moi mon Ami, se parle du ciel, viens il y a un banc .Un petit coin offert pour arrêter le temps, un banc caché ou perdu sur un chemin. En France ou ailleurs, un banc pour reposer son âme, pour ne penser à rien, mais simplement regarder les mouvements du vent et entendre le petit silence. Une Petite larme d'eau blanche.
Quand l'homme aura totalement éteint son désir d'abuser d’autrui, et cherchera la maîtrise de son comportement, il se délivrera de ses culpabilités originelles, enfin à ce moment là , il sortira de l'âge de pierre.
Je suis l'expression de ma culture, l'expression d'une farandole de gènes qui expriment un condensé subtil de possibles, je déploie la réalité de mon univers , j'existe la forme , mon dedans , mon dehors , mon "moi " enfin une conscience d'être quelque chose le temps d'une vie. Je vous raconte un peu de moi, un peu de l'histoire d'un million de générations, un peu de l'histoire de tous ceux qui n'ont été que des maillons, des sans grades, ceux isolés dans un monde d'illusions qui ont disparus de nos mémoires. Mon Ami, mon frère, il faut que je te dise que la vie c'est un possible " qui s'éveille pour former une grande ronde ou peut être ne sommes nous " qu'un " reflet qui renait à l'infini.
Un banc pour des passants, des impatients, pour la joie des enfants. Sur un petit chemin, un banc tout bariolé un banc repeint en blanc.
Un banc presque oublié délaissé, ravagé, abandonné, rouillé et fatigué , un banc d'été ou d'hiver pour les curieux, le nez en l'air.
Un banc d'émotions folles, de saisons qui s’envolent, un banc poétique pour les amoureux , un banc pour la rupture , un banc pour des blessures , un banc pour se dire pardon , si tu viens t'asseoir un moment, je t'inventerais des histoires de bancs , histoire de faire passer le temps.
Viens mon ami que je te dise qui tu est ; au début de notre séjour sur terre, nous ne savons rien de rien. Tout baigne dans une ouate un peu confuse: notre regard ne discerne pas, notre mémoire est plutôt vide. Nos yeux ne distinguent pas encore les formes physiques; durant leurs premiers jours opérationnels, ils ne perçoivent que de la lumière. Mais bientôt des contours apparaissent, que la mémoire apprend vite à reconnaître. Nous commençons à distinguer. Ainsi en est-il avec tous les instruments de perception, qui se fixent sur la différence, le changement. L'œil détecte avant tout le mouvement par rapport à l'arrière-plan statique. Notre oreille perçoit aisément un nouveau son ou sa cessation, plus qu'elle n'enregistre un son ou un silence continu. Il en va ainsi de tous nos sens. Notre attention distingue d'abord et avant tout la différence, la forme qui se démarque de l'arrière-plan. Le système nerveux, qui est essentiellement mémoire, se remplit des traces laissées par les expériences. Nous commençons à connaître «le monde» et cette connaissance s'installe en nous en se structurant.
Nous apprenons à distinguer les gens les uns des autres, surtout le «je»; nous commençons à former des catégories et à classifier. À mesure que notre mémoire se charge, nous vivons davantage en nous fiant à elle pour penser, agir et réagir, nous inventons un monde. A divers moments de ma vie, j'ai cru être un Catholique, un Holistique, un Agnostique et un Laïc humaniste. J'étais un libéral, écologiste et pacifiste. Je prenais de nouvelles identités à la recherche d'une plus grande autonomie et, tout au fond, je crois, pour me distancer de certaines vulgarités qui caractérisent la condition humaine - des qualités telles que la cupidité et l'agression. En reliant certaines pensées, en bricolant de nouvelles identités, j’ai pu convaincre, moi et les autres, que ces traits malsains de l'homme ne pouvaient pas me définir. Ils définissaient des voleurs, des violeurs et des assassins. J'étais au-dessus de tout cela, et je disposais d'un portfolio de croyances pour le prouver. Je n'étais pas seul dans ma tentative d’adopter une nouvelle identité. Tout le monde de par le monde l’a bien fait avec moi. Hindous, Musulmans et Bouddhistes. Les Socialistes, les Communistes et les Verts. Les Syndicalistes progressistes, Démocrates-chrétiens - des identités élaborées tout comme les étudiants de première année élaborent des majors. Nous avons tous été tenter de nous élever au-dessus de notre nature animale héréditaire, mais nous élever au-dessus ne la fait pas disparaître. Nous restions toujours avides et agressifs en dépit de nos convictions profondes. Nous marchions dans les contradictions, projetant nos conflits intérieurs sur le monde, en fait, nous étions le monde, et c'est pourquoi il était un tel gâchis. Après avoir erré d'un système de croyance à l'autre, je pensais avoir exploré les grandes questions de la vie, mais je ne faisais que poser des questions auxquelles mes croyances me fournissaient des réponses toutes faites. Je ne m’étais pas encore posé les questions les plus radicales, celles qui finiraient par fracasser mes croyances.
Il s'agissait de questions qui ne semblaient pas nécessaires de se poser, des questions comme: Si un conflit de croyances peut être trouvé à la racine de toute la violence dans le monde, alors ne devrions-nous remettre en question leur validité - pas la validité d’une croyance particulière, mais la croyance elle-même?. Séparés de nos croyances, perdrions-nous notre portée morale? Serions-nous la proie de nos instincts les plus bas et secourions-nous le monde par des actes de violence dépravés? Ou est-ce précisément le comportement que nous avons quand nous sommes sous le charme hypnotique de nos croyances? Imaginez une ville dont les bâtiments ont été détruits par un tremblement de terre. C'est l'image que je me faisais de mon esprit après que mes convictions aient été renversées. Je sentais que je pouvais voir à l'infini dans toutes les directions. Les imposantes structures de pensées qui se trouvaient dans mes croyances n'ont plus bloqué ma vision du monde. J’ai ressenti un déroutant sentiment de liberté. Libéré des croyances qui avaient édifié mon identité, je me sentais merveilleusement anonyme.
J'étais une personne sans suffixe, sans iste- pour affirmer mon existence. J'avais inconsciemment rejoint le seul club qui importe. Le nombre dans les milliards, ne fait pas payer de cotisation et accueille les criminels de carrière. C'est ce qu'on appelle la race humaine..Il y a des années que j'ai déposé mes convictions, et je ne suis pas encore transformé en tueur sociopathe. Au contraire, j'ai développé une profonde affection pour mes camarades de la planète, maintenant que je ne les mesure plus à l'aune de mes croyances. Fini les murs de la pensée qui m'empêchaient de voir qui ils sont vraiment. Et disparue, heureusement, ma compulsion à les pointer comme mauvais pour pouvoir paraître vertueux.
On peut se parler toi et moi mon Ami, se parle du ciel, viens il y a un banc .Les essences qui donnaient aux mots, le relief de certitudes s'évaporent peu à peu et le noir de fumée sur les parois des cavernes rappelle que l'être humain n'est qu'une construction fragile. Le savoir n'est pas sagesse .C'est le moment ou plus rien n'est vrai ou plus rien n'est faux et le retour programmé vers le chemin de l'obscurantisme .Le conformisme de beaucoup d'intellectuels ont donné raison a ceux qui pensent que l'humanité est en déclin, en deux ans nous perdons le bien être d'un siècle des lumières. Que cela soit par confort, paresse ou béatisé par la peur d'être du néant au point d'épouser le verbe des premiers hommes perdus dans le désert.