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Date de création : 04.02.2008
Dernière mise à jour : 02.11.2025
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La conscience .

Le sommeil n'est rien d'autre qu'un état de conscience modifié. Bref la conscience n'est que le résultat d'un ensemble de traitements d'informations : elle n'a pas de siége...coupez plusieurs sources et vous aurez des états modifiés , coupez toutes les sources ; et il n'y aura plus de conscience.

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LA TERRE ..NOTRE MERE.

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partager la terre.

On peut penser ce que l'on veut d'internet mais quand même quelle merveilleuse invention ; je comprends certaines élites qui voit leurs pouvoirs s’amoindrir, aujourd'hui la science est à tout le monde et sans doute des gens prennent peur que en plus de partager la science on leurs demande de partager la terre.

LES MYSTERES DE PARIS.

 
 
 
 
 
 
 
 
Le Chevalier de La Barre, orphelin, est élevé par sa tante, Abbesse de Willancourt qui habite Abbeville. L'enfant fait partie d'une bande dissipée et parfois peu respectueuse de la religion catholique.
Le 9 aout 1765, le crucifix du Pont-Neuf d'Abbeville est abimé. L'émotion est utilisée par l'Eveque d'Amiens qui veut faire un exemple. Sans preuve le Chevalier de la Barre est rapidement accusé. En dépit d'interventions, le 4 juin 1766, le Parlement de Paris le juge coupable du crime d'impiété. Le 1er juillet il est décapité et son corps jeté dans les flammes. Il sera rehabilité par la Convention le 15 novembre 1794 (25 Brumaire An II).
 
 
 
 
Artistes et Peintres 
 
 
A partir du début du XIXème siècle le village de Montmartre attire les artistes qui y développent une ambiance décontractée et boheme. Vers 1820, les premiers peintres qui sont venus habiter dans le quartier de Montmartre sont Horace Vernet et Géricault. Le village de Montmartre attire une population libertaire et de nouveaux logements sont construits, ceci s'amplifie quand l'exploitation des carrières de gypse, sur le versant nord de la Butte, est arretée. 
 
 
 
 
le Moulin de la Galette - peinture de Van gogh 
 
 
Des peintres qui vont devenir les maitres de leur art s'installent à Montmartre. Renoir peint le Bal du Moulin de la Galette en 1876  (la peinture est au Musée d'Orsay), puis c'est Van Gogh qui peint le Moulin lui-meme en 1886. Pablo Picasso, qui est au début de sa carrière, a lui aussi peint le Moulin de la Galette en 1900, (cette oeuvre est au Musée Guggenheim à New York aux Etats Unis). 
 
 
 
 
Peinture de Renoir 
 
 
Au début du XXème siècle, une baraque de la place Emile Goudeau qui s'appelle le Bateau-Lavoir sert de logis à des peintres qui, à ce moment, n'avaient pas un sou : Picasso, Van Dongen, Braque, etc... Le bateau-lavoir a été détruit par un incendie en 1970. 
 
 
 
 
Peinture de Picasso 
 
 
 
La Maison Rose 
 
 
Maurice Utrillo a représenté sur un tableau dénommé la Petite Maison Rose cette maison aux murs roses. Cette oeuvre lui a permis de devenir célèbre.
 
 
 
 
 
Elle se situe au 2 rue de l'Abreuvoir. Cette rue conduisait jadis à l'abreuvoir où s'approvisionnait en eau la population et où l'on faisait boire les chevaux et autres animaux. 


La Maison Rose est aujourd'hui un restaurant. 
 
 
Le Lapin Agile 
 
 
C'est une maison villageoise rose, couverte de lierre située au 4 de la rue des Saules.
 

Ce petit restaurant se nommait jadis Le Cabaret des Assassins. Son plat de prédilection était le lapin sauté à la casserole. En 1875, le dessinateur caricaturiste André Gill réalisa une enseigne avec un lapin sautant hors de la casserole. Par consonance le lapin à Gill devint ensuite le lapin agile nom que prit le restaurant. 
 
 
  
 
 
En 1903, Aristide Bruant rachete l'établissement et y installe Frédéric Gérard qui y donne une nouvelle vie et le transforme en Cabaret. Le lapin Agile devient le rendez-vous des peintres, écrivains, chansonniers et artistes de toute catégorie.
Il est fréquenté par des personnages aussi variés que Apollinaire, Courteline, Carco, Marcel Proust et les peintres Renoir, Utrillo, Braque et Picasso.
 

 

 

 
Tourisme et histoire - Paris - Palais Royal -
 
Tourisme et histoire - Paris - Palais Royal -
 
 
Du palais Cardinal au Palais Royal 
 
 
I - Le palais Cardinal 
 
 
Devenant ministre en 1624, Richelieu souhaita s’installer à proximité du palais du Louvre. Il se fit construire par Lemercier un hôtel, l’hôtel de Richelieu, qu’il habita de 1629 à 1633. Richelieu acquiert en 1633 les terrains voisins provenant de la démolition de l’enceinte Charles V et fait construire de 1634 à 1639 un palais et un vaste jardin, limité par les rues de Richelieu, des Petits-Champs, des Bons-Enfants et Saint-Honoré : c’est le Palais-Cardinal. 
 
 
 
II Le Palais-Royal 
 
 
En 1636, Richelieu fait par anticipation donation de son palais à Louis XIII, ce qu’il confirme avant sa mort qui survient au palais en 1642 : il le lègue en effet au roi et à ses héritiers directs, exception faite de la Capitainerie, ou Conciergerie qui deviendra ensuite le palais Brion (emplacement du Théâtre-Français). 
 
 
 
 
 
Façade du Palais Royal 
 
 
En 1643, Anne d’Autriche devenue régente s’installe au palais avec ses deux fils, Louis XIV (5 ans) et Philippe d’Orléans (3 ans). Il devient alors le Palais-Royal. 
Par la suite, le cardinal Mazarin acquiert l’hôtel Tubeuf (bibliothèque nationale) qui lui permet d’être auprès de la famille royale en n’ayant qu’à traverser le jardin du palais. Il emménagea ensuite pour encore plus de praticité dans le palais lui-même entre l’appartement d’Anne d’Autriche et celui du roi. A cette époque, Louis XIV, quelque peu abandonné, faillit se noyer dans le grand bassin du jardin et eut pour compagne de jeux la fille d’une servante des femmes de chambre de sa mère avec qui il joua au roi et à la reine dans les cuisines du palais. 
 
 
La fronde survint et la famille royale rejoint clandestinement le château de Saint Germain en Laye (janvier 1650). Après une accalmie, de retour au Palais-Royal, les princes de Condé, de Conti et le duc de Longueville y furent arrêtés. Une émeute se déclencha à la suite de rumeurs sur le départ de la famille royale, et dans la nuit du 9 au 10 février 1651, l’invasion du palais ne cessa que lorsque les personnes présentes purent voir le roi, alors âgé de 12 ans, qui dormait paisiblement dans son lit. A la suite de cet incident, la famille royale abandonna le palais royal pour le Louvre, qui était quant à lui pourvu de fossés et autres moyens de défense contre les émeutes. 
 
 
 
 
colonnades du Palais Royal 
 
 
 
En 1652, Le Palais est habité par la reine d’Angleterre en exil, Henriette de France (également fille d’Henri IV), et sa fille, future Madame, Henriette d’Angleterre. Après le mariage de Monsieur avec Henriette d’Angleterre, le couple est autorisé à résider au palais. Après la mort en 1670 d’Henriette, le duc d’Orléans épouse la princesse Palatine qui résidera aussi au Palais-Royal. 
 
 
Les héritiers du cardinal de Richelieu ayant mis en vente le palais Brion, Louis XIV l’acheta pour y installer Mademoiselle de La Vallière qui y donna naissance en 1663 et 1665 à deux garçons issus de sa liaison avec le roi (qui mourront en bas âge). 
 
 
Richelieu avait fait construire dans l’aile sud-est une salle de spectacles, car il avait un goût prononcé pour le théâtre. Louis XIV décida en 1660 que celle-ci, jusqu’alors privée, serait ouverte au public. Une entrée fut aménagée dans l’actuelle rue de Valois. 
 
 
Molière, directeur de la troupe du roi, s’établit au Palais-Royal où il joua presque toutes ses pièces. C’est dans ce théâtre qu’il fut saisi par le malaise qui devait lui être fatal, le 17 février 1673, à l’issue d’une représentation du Malade imaginaire. 
 
 
Par la suite, la salle fut réservée aux opéras de Lully. Cette salle se trouvait vraisemblablement à l’emplacement de l’actuelle salle du Contentieux 
 
 
 
Des ducs d’Orléans à nos jours 
 
 
III Les ducs d’Orléans 
 
 
En 1692, le roi impose sa fille légitimée, Mlle de Blois, fille de Mme de Montespan, au duc de Chartres, fils de Philippe d’Orléans et de la princesse Palatine. Ces derniers en tirant une grande humiliation, Louis XIV leur donna l’apanage du Palais-Royal. 
 
 
Monsieur, puis son fils, devenu duc d’Orléans en 1701, y organisèrent de nombreuses festivités et y firent de coûteux aménagements. Philippe II d’Orléans, devenu Régent à la mort de Louis XIV en 1715, occupe toujours le Palais où sont organisés des soupers libertins. 
 
 
Son arrière petit fils Philippe Egalité fit construire tout autour des jardins un ensemble de bâtiments abritant des boutiques. Cette transformation souleva le mécontentement des propriétaires des maisons avoisinantes qui n’avaient plus de vue directe sur les jardins. Philipe Egalité fait également construire de 1786 à 1790 le théâtre destiné à remplacer la salle de l’Opéra, brûlée en 1781. Ce théâtre allait devenir le Théâtre-Français. 
 
 
 
 
Le jardin du Palais Royal 
 
 
 
En 1793, Philippe Egalité est décapité et le Palais-Royal devient bien national. Pendant la Révolution, il est au centre des événements pour devenir par la suite un centre très animé de la débauche où se côtoient maisons de jeu et maisons de joie. De 1801 à 1807, le Palais est attribué au Tribunat, une des deux assemblées fixées par la Constitution de l’an VIII, puis au tribunal du Commerce et à la Bourse. 
 
 
A la restauration, Louis XVIII restitue le palais à son cousin, Louis-Philippe, sixième duc d’Orléans et fils aîné de Philippe Egalité. C’est lui qui entreprit les travaux qui devaient donner au palais en 1829 l’aspect qu’il a de nos jours. Il devint en 1830 Louis-Philippe Ier, roi des Français, et quitte le Palais-Royal pour les Tuileries en 1831. 
 
 
18 ans après, la révolution de février 1848 voit le saccage du palais qui fut en partie incendié. L’Etat en redevint propriétaire. 
 
 
 
En 1854, Napoléon III s’empare du palais qui devient la résidence de son oncle Jérôme (frère de Napoléon Ier) jusqu’à sa mort en 1860. A la mort du roi Jérôme, son fils, le prince Napoléon résida seul au palais avec sa femme, la princesse Clotilde.